Objectif : Ne plus arriver à fermer son slim !!!

ALARME ! Drelin Drelin (mon alarme ne fait pas ce bruit, mais je le souhaite vraiment) !
09:00 - Un dimanche matin - un coup d'oeil par la fenêtre - il pleut - je ne me lave pas les cheveux !!!
09:30 : Après mon 1er café, j'émerge !
09:45 : Après une douche - un jeans vite choisi et enfilé - un débardeur plus looooooooose, tu meurs (autant dire que j'arborais fièrement un bout de tissu autour de mon soutif, un collier de seins. 'Mais c'est pas vulgaire, Dame Nature ne m'a pas excessivement gâté de ce côté là ! MERCI) - un gilet parce qu'il fait froid et il pleut - un autre pour les mêmes raisons - mon 'perf' - un bonnet (le meilleur achat de ma VIE) - un peu de make up (je veux bien faire homeless parfois mais avec distinction).

Et me voilà prête pour BRUUUUUUUUUUNCHER !!!!

Après une étape 'RETROUVER E.'
L'objectif en plus de manger davantage que de raison ne veuille était de faire découvrir ce lieu que j'affectionne particulièrement à E.

LE COMPTOIR DE MADAME TOMATE

Un des meilleurs brunch de Paris !!!

Rapport qualité / prix défiant toute concurrence !!!

Je m'explique ! Le comptoir c'est le dimanche, un brunch en self, à volonté, avec énormément de choix et surtout à seulement 19.90€ ! (3 boissons chaudes - le chocolat chaud est divin - des jus dont un presse agrume mis à dispo, pancakes, sirop d'érable, croissants, fondant au chocolat, baguette - et ses copains - salade de fruits, fruits, fromage blanc, céréales, charcuterie, saumon, poulet, saucisses, bacon, de quoi ce faire des maxi burgers...)

J'oublie pleins de trucs, c'est plus qu'évident !

Et en plus de ça le lieu est super COOOOOOL !!!!
Allez-y, vous ne serez pas déçus ! Juste un conseil : Réservez ! Et si vous n'êtes pas trop nombreux demandez des fauteuils !

LE COMPTOIR DE MADAME TOMATE

58 bvd Sébastopol

Paris 3

De ce que j'en ai perçu E. n'était pas déçue, même plutôt contente, alors on s'est dit que pour bien continuer cette journée, on allait fripailler !!!

Le Marais, nous attendait !!!

M.

Say nothing, just listen !

M.

One week later...

Opulence : n.f.  

   Etymologie : du lat. Opulentia - La richesse

1. Abondance de biens, richesse dont on fait étalage.

2.(Figuré) Ampleur, développement abondant.

source : wikitionnaire

La semaine dernière, je me suis rendue à un mariage. Précision importante : ORIENTAL !

Outre le fait qu'il avait lieu dans le nord de la France(j'ai d'ailleurs failli vous parler de la dépression que j'aurai pu avoir en me rendant dans cette région, mais comment aborder ce sujet sans être méchante inutilement, ni même sans tomber dans un parisianisme à 2 balles), quelque chose m'a vraiment frappé ! Un uppercut en pleine poire !

Le mariage, encore plus un mariage oriental, est une porte ouverte sur l'OPULENCE !

Ce jour, sensé être le plus beau jour de sa vie (ou pas) n'est qu'une représentation ! Où tout le monde montre ce qu'il a même si ce 'monde' n'a rien !

Je m'explique :

1. Décoration de salle qui se veut fastueuse ! La mariée passe quand même sa soirée sur un trône digne de Shéhérazade !

2. Une mariée arabe ne s'amuse pas ! Elle change de tenues, en moyenne 7 robes (et n'allez pas croire qu'elles sont toutes confortables) ! Elle parade ! Elle se fait prendre en photo sous toutes les coutures : assise, en dansant, en train de manger ... REPRESENTATION ! Je vous disais !

3. Les invités, surtout les femmes sortent leurs plus beaux apparats ! Et même elles changent de tenues ! IMCOMPREHENSIBLE !

M.

Moustaaaaaaaaaache

Je me suis sentie plus que concerné par l'exemple des poils dans l'article de la procrastination de E. ! 

Et ça m'a rappelé une chronique coup de gueule que j'avais écrit, il y a quelques années ! Ca m'avait vraiment amusé de l'écrire et je me suis dit que ça pourrait être sympa de vous là ressortir ! 

C'est cadeau et c'est pour vous !

'On peut dire que je n'ai peur de rien vu que ma mission a été d'analyser l'homme, enfin les hommes...

De cette mission plus que périlleuse dans le monde masculin, j'en ai tiré une seule conclusion, que vous vous êtes sûrement faites ou que vous allez toutes adopter, Mesdames, l'homme est CHIANT...

Oui, oui vous êtes chiant les gars ! Et pire encore vous n'êtes pas indulgent.

Je vous expose mon point de vue, qui va vite devenir le vôtre, sur un exemple : LES POILS !

Précision biologique : TOUT être humain naît avec des poils, les hommes comme les femmes !

Alors pourquoi les mecs n'acceptent pas qu'une fois de temps en temps, on ait un poil oublié et un peu une peau de cochon... On ne peut pas être toujours parfaite, même si en fait c'est profondément le cas !

Les mecs, je m'adresse à vous, est-ce que vous imaginez vous épilez tout les jours de toute votre vie ?

NON, alors laissez nous respirer 2 minutes.

Est-ce que nous, les nanas, on vous fait tout un patacaisse à vous faire chier pour trois poils qui se battent en duel ... NAN !

Et ce n'est pas le poil aux pattes qui manque chez vous, sans parler du torse d'ours que vous arborer fièrement ou de cette magnifique moquette qui revêt vos épaules, et je pourrais continuer encore des heures sur l'état de votre pilosité.

Alors oui, je suis une fille, je le clame haut et fort mais j'en ai marre des épilations à la cire chaude qui font mal, froides qui ne marchent qu'une fois sur deux, de la crème dépilatoire qui pue le rat mort, des rasoirs qui me balafrent les jambes ou encore des rendez-vous chez mon esthéticienne qui est pire qu'un tortionnaire et quand j'attends parler d'épilation intégrale au laser ça me rend malade, merci mais non merci, je ne suis pas encore milliardaire !

Comprenez-nous, c'est pas la joie tous les jours !

N'allez pas croire non plus, que je suis pour la négligence, loin de là, mais je suis simplement pour l'indulgence.

Car parfois un peu d'indulgence fait plaisir, et paye parce que vous savez le mal de tête prétextée avant vos désirs d'accouplement... Désolé de vous l'apprendre aussi brutalement mais il n'existe pas !

Vous savez le 'Nan, Amour ! Pas ce soir ! J'ai une migraine'. LA FEMME SE VENGE !!!

Sur ce, les mecs à vos réflexions et vous les filles n'oubliaient pas que vous avez toujours raisons surtout si vous avez tord.

Petit bémol : Les mecs, je vous aime quand même ! Allez sans rancune.'

M.

Après tout, la Terre a bien des poils

Vade Retro Paressas

Si votre chien s’est déjà soulagé sur la moquette parce que vous ne l’avez pas promené alors que vous vous étiez juré de le faire dans un futur proche…
Si un peu honteuse, vous avez déjà accompli l’acte de chair à « l’état sauvage » (état sauvage = comme la nature vous a faite… c’est-à-dire avec des poils) parce que l’épilation c’était pour aujourd’hui mais en fait ce sera pour demain...
Si vous avez arrêté la clope il y a deux jours mais que vous venez d’entamer la 10ème de la journée....
Ce sujet vous concerne alors ! Ce fléau vous poursuit aussi sans relâche… il est votre boulet, il vous empêche d’agir ! (musique stridente de film d’horreur) 
C’est la PROCRASTINATION.

Je la déteste cette procrastination, c’est une vieille connaissance, j’ai beaucoup de mal à me débarrasser d’elle. Parfois j’y arrive, quand ma pote « la conscience » me rend visite, mais c’est malheureusement bien rare.

C’est la fin du week-end et je n’ai toujours pas recherché les articles nécessaires à la création de mon mémoire.
Depuis l’entrée à l’Université, j’ai beaucoup de mal à faire les choses en temps et en heure : en somme depuis que je suis maître de mon travail,de mon temps, et que je ne m’expose à aucune réprimande si je ne fous rien.
Je me jure à chaque fois de ne pas faillir à mes engagements, de tenir cette promesse faite à moi-même de mener à terme les tâches qui m’incombent, et à chaque fois j’échoue.
Suite à cet échec un sentiment de culpabilité m’assaille et me tenaille ( rien que ça!!!) 
J’ai des envies de baston avec moi-même et de me refaire le portrait.
Ce n’est pourtant pas très compliqué… on ne me demande pas de régler seule le conflit israelo-palestinien en 24h top chrono, ni de faire en sorte d’apparaitre en haut de liste sur le testament de Liliane Bettencourt.
Apparemment, la procrastination serait liée au perfectionnisme : par peur de mal faire quelque chose on ne le ferait pas du tout… ainsi l’estime de soi ne serait pas égratignée.

Aujourd’hui j’ai décidé de me débarrasser de ce boulet, même si aller à l’encontre de sa nature n’est pas une tâche aisée.
Je vais lui faire mordre la poussière à cette procrastination, lui faire regretter d’avoir élu domicile dans ma personnalité.

A FAIRE POUR DEMAIN : arrêter les mémos, les plannings jamais respectés, au lieu de dire, écrire, penser : AGIR

E.

Procrastination
envoyé par moklaomax. - Films courts et animations.

'I saw the mirror starin’ back at m.e...'

'... and it told m.e, I’m a self machine'

M. et E.

Photos by Fabrizio

Rester sous sa couette, c'est parfois bien aussi !

Il y a des jours où on aurait préféré resté sous la couette... devant une série américaine qui n’excite pas trop les terminaisons synaptiques (bah oui on a dit looser... pas se cultiver), avec un chocolat chaud.

C’est très certainement ce que nous aurions dû faire samedi...

Ne serait-ce que pour les conditions climatiques, ce jour-là assez...APOCALYPTIQUES!
Pluie toute la journée, bonjour les frisottis... Surtout lorsque vous êtes parés d’une crinière bouclée tout à fait indomptable (voire carrément visuellement agressive au contact de l’eau), comme la nôtre.
Mais téméraires que nous sommes, on est parti en vadrouille dans le 1er, pour une exposition.

La particularité de l'évènement? Se situer dans une galerie d’art souterraine au niveau du métro.
L’enthousiasme premier engendré par la découverte de ce lieu plutôt atypique, a quelque peu été amoindri par l’exposition elle-même.

L’exposition s’étendait sur une cinquantaine de mètres, de part et d’autre du couloir se trouvait des vitrines abritant les oeuvres: photographies, peintures, sculptures.

La critique ne porte pas sur le contenu de l’exposition mais sur la manière dont elle s’est offerte aux yeux des visiteurs.
En effet je suis une néophyte en matière d’art, je ne suis donc totalement mal positionnée pour juger.
Cependant, nous nous attendions à rencontrer les artistes, à ce qu’ils nous expliquent un tant soit peu la démarche dans laquelle ils avaient créé... Malheureusement ce ne fut pas le cas... elle a donc manqué de vie.

Autre petit bémol:

Nous nous sommes rendu à la projection du court-métrage.
J’aime bien les courts-métrages, j’estime qu’on a pas besoin de 2h de films pour faire véhiculer des émotions,marquer les esprits.

Thèmes du court-métrage? Le malaise de vivre, le sentiment de perdre pied, le rejet...

Pour traduire le dit-malaise et la révolte intérieure d’une jeune adulte face à un monde qui la désespère, le créateur de l’oeuvre a eu recours à des artifices quelque peu primaires: le perfecto, le maquillage “dark”,la moue boudeuse, le froncement des sourcils genre “putain les gens c’est tous des cons, fuck them, life is a slut...” un peu fastoche non?

L’electro hardcore et la succession des plans à vitesse grand V ne me suffisent pas pour faire naître le malaise dépressif... ça me fait mal au crâne c’est tout.

Bon point de l’expo:

En plus de très belles oeuvres,nous avons découvert la marque de vêtements et accessoires : 'Dentelles & Macaron”.
Le concept? La vente de pièces vintages et de créations rétro.
Des prix abordables et de trèèèèèèèèèèès jolies choses (je me serais laissée tenter si ma CB ne faisait pas la gueule).

E.

Innocence

Flashback : ‘Maman, maman, quand est-ce qu’on y va ?’ / ‘Maman, maman, c’est l’heure ?’ / ‘Maman, maman, tu m’achèteras une barbe à papa?’

Je devais avoir 10 ans, et c’était un des évènements à ne pas rater ! La fête foraine qui s’installait pendant 3 semaines.
J’avais des paillettes pleins les yeux , tout était beau, gigantesque, presque impalpable !
Cet imaginaire me surexcitait ! Et j'ai pourtant tout perdu de cette innocence...

Aujourd’hui j’ai grandi, et je porte un regard bien différent...
Plus rien même, pas un soupçon d’excitation ! Le néant, le vide !
Les personnes sont différentes, c’est minuscule et chaque année, on a le droit à la même chose.
Et le pire c'est que j'ai perdu cette innocence dans bien d'autres domaines, ça s’étend malheureusement à bien plus que ça ! Un exemple, les films...

Est-ce que vous avez déjà tenté de regarder un film que vous appréciez quand vous étiez enfant ?

Ça m’est arrivé, il n’y a pas si longtemps, j’adorais The Mask avec Jim Carrey !!!!
Un seul mot à vous dire : DÉCEPTION

C’est parfois triste de grandir ! J'ai un regard bien nostalgique sur cette époque là de ma vie...

M.

Heureusement que la pomme d'amour et ses copains (barbe à papa, churros, beignets et bonbons) existent, ils continuent à mettre du baume dans nos coeurs !

E.: Contrairement à mon acolyte, je reste toujours sensible aux films/séries/livres qui m’ont ému plus jeune.
Je prends pour exemple (et celui-ci est loin d’être le seul)le film 'Jack' réalisé par Francis Ford Coppola, sorti en 1996, avec Robin Williams dans le rôle principal.

Piqûre de rappel ou de découverte pour 'Jack': l’histoire de Jack est celle d’un enfant dont le corps vieilli quatre fois plus vite que celui d’un enfant normal.

Si je le regarde une nouvelle fois aujourd’hui je suis certaine qu’une larme viendra se nicher au coin de mon oeil droit.
Suis-je bonne pour la camisole pour autant? Est-ce que je souffre d’une débilité mentale non décelée à la prime enfance? Je ne pense pas. 

A vrai dire j’apprécie avoir gardé un regard enfantin sur certaines choses malgré mes 22 ans.

(bon d’accord parfois ça frise franchement le ridicule...ne me faites pas regarder le dernier épisode de “Dawson”...vous comprendriez pourquoi...)

M.: et on notera la performance dans ce film de Jennifer Lopez ... REMARQUABLE !!!

Et si on arrêtait d’écouter de la soupe !!!

Petite découverte musicale ! Un duo super frais et qui donne envie de bouger ! Ca sent bon le soleil et c’est plutôt réconfortant avec cette caillance.

Et pour la petite anecdote, quand je l’ai fait écouter à E., elle m’a répondu toute décontenancée : 
‘Je n’arrive pas à déterminer si j’aime M.I.A ou pas’...
Ma réponse : ‘SI SI on aime M.I.A’

Et entre nous, je crois qu’elle l’écoute en boucle en ce moment ! (Mais ne lui dites pas que je vous l’ai dit)

M.